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"Malheureusement, il n'existe aucun médicament pour le sevrage des benzos et ceux qui ont recours à l'aide d'autres médicaments psychotropes découvrent toujours qu'il y a un prix à payer en terme de santé." ray Nimmo
Nous pouvons donc en conclure que : Environ 70% des sevrages ne se passent pas trop mal, si ils sont effectués selon les méthodes Ashton ou Peart. En aucun cas, si la victime est dépendante, il ne faut suivre la méthode employée ou conseillées, par les médecins français
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Principes des addictions psychiatriques
...11. Les médecins qui prescrivent des interventions biopsychiatriques ont en général une estimation irréaliste des risques et des bénéfices du traitement.
Les interventions biopsychiatriques sont fondées sur le principe du “désemparement et déni iatrogènes” (iatrogenic helplessness and denial, IHAD). Il se réfère au mécanisme qui fait que le patient perd, par la façon dont le traitement est appliqué et par l’effet chimique ou neurologique du traitement, toute capacité d’évaluation de ses réactions, du handicap créé par le traitement, et des assertions du médecin. « Le psychiatre biologique utilise des techniques connues d’autorité et impose des traitements destructeurs du SNC pour obtenir un désarroi et une dépendance accrus du patient. »
La IHAD implique le déni de la part et du médecin et de la part du patient des dommages créés par le traitement, tout autant que des réels troubles psychologiques et contextuels présents. La IHAD rend compte de la fréquence avec laquelle les traitements par techniques destructrices du cerveau sont utilisés en psychiatrie: électrochocs, psychochirurgie, et médication toxique. Le fait que le traitement détruit des fonctions cérébrales amène la soumission du patient par le biais de la perte de fonctions essentielles telles que la vitalité, la volonté et le raisonnement. Le déni vise non seulement la destruction des fonctions essentielles chez le patient, mais aussi le fait que ses problèmes psychologiques continuent. Ce déni est assorti de confabulation [procédé commun à toutes les addictions avec produit. [le déni est un procédé de défense archaïque (stade oral-anal)]]....Les médicaments utilisés en psychiatrie nous font plus de mal que de bien
Les symptômes de sevrage sont souvent diagnostiquée à tort comme un retour de la maladie ou le début d'une nouvelle, pour lesquelles les médicaments sont alors prescrits. Au fil du temps, cela conduit à une augmentation du nombre d'utilisateurs de toxicomanes, à long terme"Le but du système public de santé mentale est de créer une classe énorme de malades mentaux chroniques en les forçant à prendre des médicaments inefficaces, mais extrêmement dangereux ."
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ALERTE SUR UN SCANDALE SANITAIRE : LES BENZODIAZEPINES ET LEUR PRESCRIPTION INCONTROLEE
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Un petit résumé : Ne JAMAIS stopper ces drogues brusquement ! Comme tous les sevrages des drogues légales ou illégales, les sevrages aux benzodizépines doivent être effectués très très lentement (et jamais 2 drogues en même temps si l'on vous prescrit plusieurs sortes de drogues autre que les benzos). Les diminutions ne doivent pas dépasser 10% de la dose en cours, voir 5% par palier de 15 jours à 3 semaines environ pour les personnes dépendantes. Ces diminutions peuvent encore êtres moindres en cas de difficultés ou en fin de sevrage. Les conditionnements en gouttes sont recommandés (lysanxia, valium...). Il est conseillé d'effectuer une substitution par une benzo à demi-vie longue si votre benzo actuelle est une demi-vie courte ou moyenne. Un arrêt maladie doit être accordé par le médecin pour toute la duré du sevrage et post sevrage si la victime en fait la demande (sinon : changer de médecin !). Bien que l'aide d'un médecin soit nécessaire, il ne faut jamais faire confiance à un médecin en matière de sevrage, pas plus qu'en matière de prescription d'ailleurs...
"Attention : les informations suivantes sont destinées aux personnes qui peuvent prévoir leur sevrage - si vous souffrez actuellement d'un syndrome de sevrage en raison d'une diminution trop rapide ou d'un sevrage brutal, revenez immédiatement à la dernière dose à laquelle vous vous ressentiez une bonne stabilité physique et émotionnelle. C'est impératif - ne comptez pas sur le temps pour vous débarrasser de vos symptômes, vous risquez un syndrome prolongé de sevrage aux benzodiazépines. Certains, y compris dans le corps médical, pensent que le sevrage brutal ou trop rapide peut faire gagner du temps, mais c'est une idée fausse. Non seulement le sevrage brutal est dangereux, mais il peut prolonger vos souffrances des mois ou des années durant."
Ne jamais toucher aux antidépresseurs, neuroleptiques, bêtabloquants, antihistaminiques.... lors d'un sevrage aux benzodiazépinesJe suis beaucoup plus ferme qu'eux :Les antidépresseurs, en particulier, ont les mêmes effets secondaires que le sevrage des benzos, ils ne font donc qu'aggraver les symptômes de sevrage.maintenant uniquement réservé aux activistes, mais consultable en lecture"70% des sevrages ne se passent pas trop mal, si ils sont effectués selon les méthodes Ashton ou Peart. En aucun cas, si la victime est dépendante, il ne faut suivre la méthode employée ou conseillées, par les médecins français
Devez vous aller voir un psychiatre pour le sevrage ? : la réponse du professeur Breggin
« On m’a appris depuis mon enfance a faire confiance aux médecins, beaucoup de gens disent « il faut faire confiance aux médecins, ils savent ce qu’il font » et APRES, TU APPRENDS QUE CE N’EST PAS VRAI… »
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